Aux femmes étrangères ou françaises ayant un lien avec l’étranger, l’association Femmes de la Terre propose un accompagnement juridique dans leurs démarches liées à l’entrée en France (demandes de visa pour être rejoint par sa famille), au droit au séjour une fois sur le territoire français et à l’asile.
Depuis sa création, Femmes de la Terre porte une attention particulière aux femmes victimes de violences et les accompagne dans leurs démarches liées à la reconnaissance ou au maintien de leur droit au séjour.
Chaque mardi après-midi, notre équipe propose par ailleurs une permanence d’accès au droit et d’écrivain public ouverte à toutes et tous, et qui accueillent notamment les habitantes et habitants du quartier de la Solidarité.
"Le 8 mars, ce n’est ni la fête des mères, ni la fête des femmes, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes."
Cette année Femmes de la Terre co-organise une soirée autour des collages féministes avec les associations Femmes Entraide Autonomie, Libre Terre des Femmes et Espace 19.
Cet événement se veut féministe, inclusif, collectif et participatif !
N’hésitez pas à en parler autour de vous !
Au programme ❓
🔸 16h30 : Accueil et fabrication de collages
🔸 18h : Introduction de la soirée et projection du film RIPOSTE FEMINISTE
🔸 20h Discussion animée par Rokiatou Sissoko, conseillère conjugale et présidente de l’association Femmes Entraide Autonomie
🔸 20h30 : Apéritif (végétarien)
🔸 21h : collages féministes !
📌 6 Rue Colette Magny, 75019 Paris (accès PMR)
🫰 entrée gratuite (dans la limite des places)
avec le soutien de la Mairie de PARIS 19.
Le 1er février 2023 le collectif BOUGE TA PRÉFECTURE, dont fait partie Femme de la Terre, organise une grande journée de mobilisation en Ile-de-France pour le respect des droits et la dignité des personnes qui vivent et/ou qui travaillent en France.
Les associations, collectifs et syndicats demandent en urgence :
• un vrai accueil et des rendez-vous,
• des réponses dans des délais raisonnables,
• le renouvellement sans délai des titres de séjour pour éviter les ruptures de droits,
• l’élargissement des voies de régularisation pour ceux qui étudient, vivent et travaillent en France.
Des rassemblements sont prévus à 15h devant toutes les préfectures en Ile-de-France et à Paris, place Saint Michel.
Femmes de la Terre sera présente Place Saint Michel.
Infos pratiques : rdv à 15h, place Saint Michel (métro Saint Michel)
Communiqué de presse BTP 75
Communiqué de presse BTP Ile de France
Femmes de la Terre et plusieurs associations parisiennes interpellent sur la réalité des pratiques en cours à la préfecture de police de Paris. Les impacts sur l’accès effectif aux droits des personnes étrangères sont massifs et quotidiens !
Ces situations, communes à d’autres préfectures en France, ne peuvent être un impensé de la réforme de la loi asile et immigration en cours d’élaboration.
Annoncée par G.Darmanin à coups de déclarations médiatiques sur "l’application rigoureuse" de la double peine, le projet de réforme de la loi asile et immigration se précise. Stigmatisation et effets rhétoriques sont de mises, associant clairement délinquance et immigration.
La "réforme Darmanin" est annoncée pour début 2023, suite à un "grand débat" au Sénat et à l’Assemblée Nationale, où les dernières élections ont taillées la part belle aux partisan.e.s d’une politiques migratoire toujours plus dégradée.
Femmes de la Terre se joins aux demandes de concertation des acteur.trices de terrain et des premier.ères concerné.e.s.
Parmi les nombreuses inquiétudes soulevées par ce projet de loi, nous ne pouvons faire l’impasse sur l’état du droit existant et les applications restrictives (voir abusives !) qui en sont faite.
C’est l’objectif de cette interpellation qui souligne notamment les défaillances structurelles de la préfecture de police de paris :
Retrouvez ici l’intégralité de la lettre ouverte :
Signataires : Cimade IDF, CSP75, Dom’Asile, FASTI, Femmes de la terre, Secours Catholique délégation de Paris, RESF Paris, Solidaires Paris, Solidarité Jean Merlin
Journée du 25 novembre 2022 : engageons nous contre toutes les formes de violences et pour la défense de toutes les femmes.
La lutte commune pour l’élimination de toutes les formes de violences doit concerner toutes les femmes.
Nos associations constatent chaque jour que les femmes étrangères risquent d’être exposées à une violence institutionnelle qui s’ajoute à la violence subie dans le cadre conjugal, familial, professionnel...
Les exemples sont nombreux et témoignent tous d’une discrimination envers les femmes étrangères dans le respect de leurs droits les plus fondamentaux :
Femmes de la Terre rappelle l’importance de s’engager pour que la lutte contre les violences ne soit pas le lieu d’autres discriminations ou d’autres rapport de domination envers les femmes étrangères.
Retrouvez l’épisode de l’épisode "La voix des sans papiers" diffusée le 17 novembre 2022 par la radio Fréquence Paris Plurielle sur la double violence et la réalité des parcours administratifs des femmes étrangères en France. ICI :
Jeudi 24 novembre, nous avons participé à la journée organisée par l’Observatoire Parisien Contre les Violences faites aux Femmes (OPVF) - "Mieux détecter pour mieux soigner". Retrouvez le bilan 2021 de l’OPVF ici
Crédit photo : Œuvre réalisée par Jeanne LOUVET, étudiante à l’ESPAA, école de communication visuelle de la Ville de Paris - maquette bleu carmin Nov 2022. Ville de Paris
En septembre, Femmes de la Terre a reçu un des 22 Grands Prix de la Fondation des Femmes pour l’année 2022.
Ce partenariat est une reconnaissance et un soutien de taille du travail fait par notre association pour l’accès effectif aux droits des femmes étrangères : droit au séjour, droit d’asile, protection contre toutes les formes de violences, y compris institutionnelles...
Le thème des Grand Prix 2022 - l’émancipation économique des femmes - est un des piliers de la lutte pour l’égalité hommes femmes.
Le soutien de la Fondation des Femmes va permettre à Femmes de la Terre de stabiliser et développer son action de permanence juridique en droit des étrangers à destination des femmes. Les détails de nos activités seront diffusées dans les prochaines newsletters et le bilan annuel de l’association.
La Fondation des Femmes - qui sont-elles ?
Depuis 2005, la Fondation des Femmes apporte un soutien financier, juridique et matériel aux initiatives associatives à fort impact pour la liberté et les Droits des Femmes et contre les violences dont elles sont victimes, sur tout le territoire.
Chaque année, les Grands Prix de la Fondation des Femmes soutiennent plusieurs associations féministes.
Plus d’infos ici
En 2022, les 22 projets financés partout en France se répartissent selon 3 piliers essentiels pour l’émancipation économique des femmes :
Les actions de Femmes de la Terre sont soutenues dans la catégorie précarité.
La remise des prix s’est tenue le 21 septembre 2022, en présence de Valérie Bonneton et Bérengère Krief, ambassadrices de la Fondation des Femmes ainsi que de Julie Gayet et Julie Murat, membres du Comex de la Fondation des Femmes, en présence d’Isabelle Rome, Ministre déléguée auprès de la Première ministre, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances.
Le collectif BOUGE TA PREF appelle au rassemblement le 21 juin 2022 devant la préfecture de Bobigny.
Depuis des années, les préfectures, en Île-de-France et ailleurs, utilisent la dématérialisation pour bloquer les demandes de régularisation ou de renouvellement de titre de séjour des personnes étrangères. La préfecture reste muette et l’errance administrative se prolonge de mois en années !
Cette situation doit cesser. La décision du 3 juin 2022 du Conseil d’État à confirmé l’illégalité de l’absence d’alternative à la prise de rendez-vous en ligne.
L’organisation interne des préfectures doit être revue, l’accès de tous·tes au service public doit être garanti et la dématérialisation ne doit pas signifier la fermeture des voies de régularisation !
Informations pratiques :
12H - 16H devant la Préfecture de Bobigny, esplanade Jean Moulin
M° et T Pablo Picasso
Femmes de la Terre soutient la lettre ouverte adressée au Préfet de la Seine Saint Denis par les membres de "Bouge Ta Pref" et le Livre Noir 93.
"Vous faites de la dématérialisation la seule voie d’accès à vos services, vous ne donnez pas de rendez-vous aux personnes étrangères qui sont en droit d’effectuer une demande de titre de séjour, ou les fixez plusieurs mois, voire un an après la date fixée par le référé du Tribunal administratif .
La préfecture de Bobigny dont vous êtes responsable, choisit l’illégalité ; l’avis du Conseil d’Etat du 2 juin 2022 qui refuse le recours exclusif au service en ligne pour les étrangers qui souhaitent déposer une demande de titre de séjour nous donne raison. [...]
La préfecture de Bobigny doit cesser d’être une « fabrique » de sans-papiers. II est urgent de
Ici l’intégralité de la lettre
Ici la décision du Conseil d’État du 3 juin 2022
Venez nombreux·ses !
Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à nous contacter par mail fdlt92@gmail.com
Femmes de la Terre et 300 associations signataires alertent sur la dématérialisation des démarches administratives, source majeure d’entrave à l’accès aux droits pour de nombreuses personnes.
« La dématérialisation des démarches administratives, si elle peut les simplifier pour de nombreuses personnes, peut aussi être une source majeure d’entrave à l’accès aux droits pour d’autres : nos 300 organisations agissant en solidarité avec les personnes, françaises ou étrangères, en situation de précarité, co-signataires du Manifeste pour un service public plus humain et ouvert à ses administréEs, dénoncent cette dérive. [...] Pour les administrations, la dématérialisation des démarches représente l’opportunité de faire disparaître les files d’attente et de limiter la présence du public dans leurs locaux. Mais l’attente est en réalité rendue invisible et aucun indicateur ne permet aujourd’hui de mesurer sa durée et l’ampleur des personnes touchées.
[...] Mais la démission du service public exclut toujours un peu plus du droit commun une frange de la population et porte atteinte au principe d’égalité d’accès au service public, ainsi qu’à sa gratuité et à sa continuité.
Nos organisations appellent les pouvoirs publics à remettre ces principes au coeur de l’organisation des administrations. L’accueil physique ne saurait être réservé à celles et ceux ayant réussi à franchir le mur numérique. Nous exigeons un service public humain et ouvert à ses administréEs, qui fonctionne pour toutes et tous et ne sacrifie personne ! »
Lire le Communiqué de presse dans son intégralité !
Retrouvez et partagez le Manifeste pour un service public plus humain et ouvert à ses administré·es
C’est à la fin de l’année 1992 que des bénévoles qui participaient aux permanences juridiques d’Accueil et Promotion, du centre social Relais 59 et de l’association Solidarité Français Migrants, ont décidé la création de l’association Femmes de la Terre.
Cette initiative était une réponse aux demandes émanant de femmes qui souhaitaient un accueil spécifique en cours de journée. Un accueil réservé aux femmes permet en effet de leur donner un lieu où s’exprimer librement.
Dès l’origine, l’association Femmes de la Terre s’est donné pour objectif de contribuer au respect des droits fondamentaux que sont le droit à la liberté, le droit de vivre en famille, la liberté d’aller et venir, le droit à la santé, à l’emploi, au logement.
L’association a pour activité principale l’accompagnement juridique des femmes et jeunes de moins de 25 ans (garçons ou filles), de nationalité étrangère ou qui ont des liens avec l’étranger, et qui rencontrent des difficultés administratives ou juridiques liées à l’asile, à l’entrée et au séjour en France.
Femmes de la Terre porte une attention particulière aux femmes étrangères victimes de violences et les accompagne dans leurs demandes de protection internationale ou lorsque les violences remettent en cause leur droit au séjour. Toutes les femmes étrangères ne sont pas victimes de violence mais certaines le sont et peuvent alors être victimes d’une double discrimination en tant que femmes et étrangères.
L’association est ainsi engagée dans la lutte contre toutes les formes de violences, conjugales, familiales ou institutionnelles, que ce soit dans le cadre de cette permanence juridique et par les actions menées en réseau avec d’autres associations (voir nos réseaux).
En 2004, l’association a emménagé rue de la solidarité, dans le 19ème arrondissement de Paris. Cette installation a permis la concrétisation d’un projet depuis longtemps en gestation. Femmes de la Terre a eu, en effet, l’opportunité d’occuper un local loué à Paris Habitat, grâce au soutien des élu.e.s de la mairie du 19ème arrondissement et aux responsables de la Politique de la Ville. L’occupation de locaux plus spacieux a rendu possible la création d’une permanence d’ « écrivain public et accès aux droits ».
La première permanence hebdomadaire a eu lieu le 19 octobre 2004. Elle a pris son essor en 2005, s’intègre parfaitement dans le quartier où l’association est installée et, depuis, fonctionne régulièrement pour un public de plus en plus nombreux.
Permanence juridique en "droit des étrangers" pour les femmes et les jeunes
Notre premier rôle est d’offrir aux femmes étrangères ou qui ont des liens avec l’étranger, un lieu fixe où elles peuvent venir confier leurs difficultés, être informées, soutenues, accompagnées et orientées. Nous leur donnons des informations juridiques puis, lorsque nécessaire, les aidons dans leurs démarches.
Cette action consiste en :
* Une permanence téléphonique tenue par des juristes, qui a lieu le lundi, entre 13h et 17h, pour obtenir des informations sur l’asile, le droit à l’entrée et au séjour en France, etc. et pour prendre un rendez-vous.
Numéro de téléphone : 01 48 06 03 34
* Une permanence d’accueil, qui a lieu le jeudi matin sur rendez-vous pris lors de la permanence téléphonique.
Permanence d’écrivain public et d’accès aux droits
L’objectif de cette action est de rompre avec l’isolement social, d’aider à passer la barrière des démarches administratives souvent compliquées par un vocabulaire administratif difficilement compréhensible et des procédures complexes, d’amener les personnes à être plus autonomes dans ces démarches et de les aider à accéder à leurs droits.
Cette permanence qui s’adresse en priorité aux habitantes et habitants du quartier est cependant ouverte à toutes et tous et a lieu le mardi après-midi de 13h à 17h sans rendez-vous.
Attention ! Afin d’avoir le temps d’effectuer les démarches nécessaires et pour faire en sorte que chacun soit reçu dans de bonnes conditions, les personnes doivent se présenter au plus tard à 16h.
Information / Formation
L’association développe une action d’information et de formation dans le but de faire partager son savoir et son expérience en matière de droit des étrangers, d’attribution et d’acquisition de la nationalité française, de droit des femmes et de promouvoir les droits des femmes, notamment étrangères.
Sur demande des partenaires, elle est ainsi amenée à animer ce type de formations à destination, par exemple, de travailleurs sociaux, d’interprètes près les Cours d’appel etc.
Nous disposons d’un catalogue de formations mais pouvons également élaborer des formations selon les besoins des partenaires et le profil des personnes amenées à suivre les formations (professionnel.le.s, bénévoles, public bénéficiaire des actions d’une association etc.).
La participation aux débats de société et à la lutte contre la double violence
Nous travaillons, seules et en réseau avec d’autres associations, pour défendre les droits des étrangers et pour lutter contre la double violence et contre les violences dont peuvent être victimes les femmes étrangères, que celles-ci soient familiales, conjugales ou institutionnelles.
Dans ce cadre, nous participons aux débats de société et à la mise en œuvre de stratégies d’intervention collectives, notamment au sein du réseau ADFEM (Action et Droits des Femmes Exilées et Migrantes).
L’association est également membre d’autres collectifs (voir l’onglet "Notre réseau").
ADFEM : Actions et Droits pour les Femmes Exilées et Migrantes
Ce réseau informel rassemble plusieurs associations (Cimade, Comede, FASTI, Femmes de la Terre, Femmes Migrantes Debout, LFID (ligue des Femmes Iraniennes pour la Démocratie), RAJFIRE ).
ADFEM est né de la réunion de deux groupes de travail :
Le GRAF (groupe asile femmes), qui a pour but de promouvoir le droit d’asile pour les femmes victimes de violences dans leur pays d’origine parce qu’elles sont femmes ;
Le comité d’action contre les doubles violences, qui a pour but de promouvoir le droit au séjour des femmes victimes de violence en France.
Le réseau ADFEM est un collectif d’associations ayant pour but la réflexion, l’action et l’information sur les droits des femmes exilées et migrantes dans le domaine du droit au séjour, de l’asile et la lutte contre les violences faites aux femmes.
Pour plus d’infos : http://doubleviolence.free.fr/spip/
Bouge ta préfecture
Ce groupe de militant.e.s associatifs, syndicalistes, avec ou sans papiers a été créé en solidarité avec les personnes qui, depuis plusieurs mois se heurtent à un cycle infernal lorsqu’ils doivent prendre un rendez-vous en préfecture pour régulariser leurs situations.
Femmes de la Terre est membre de ce collectif depuis décembre 2020. Dans le cadre de cette mobilisation collective, nous nous réunissons régulièrement avec des personnes accompagnées par notre association se trouvant en butte à une impossibilité de déposer une première demande ou renouveler leur titre de séjour du fait de l’absence de rendez-vous en préfecture. A cette occasion, les personnes apprennent collectivement à faire un recours auprès du juge administratif pour lui demander d’enjoindre à la préfecture de les convoquer, et qu’elles déposent ensuite en leur nom au tribunal lors de dépôts collectifs.
Ces réunions permettent également de préparer notre participation aux mobilisations destinées à rendre visible ce déni d’accès au service public pour les personnes étrangères.
Plus d’infos dans nos actus et sur la page Facebook de BOUGE TA PREFECTURE : https://www.facebook.com/groups/1603345839858094/
Etats généraux de la Migration
Les États Généraux des Migrations sont un processus rassemblant des centaines de collectifs et d’associations locales ou nationales, issues de l’immigration ou pas, présentes partout en France aux côtés des personnes étrangères et agissant dans des domaines aussi variés que l’accès aux droits fondamentaux, l’enseignement du français ou l’échange interculturel.
Ensemble, nous nous mobilisons pour un changement radical de politique migratoire.
En juin 2017, Femmes de la Terre faisait partie des 470 organisations à adresser un courrier au président de la République demandant un changement radical de la politique migratoire française et européenne et la mise en place d’une véritable concertation de la société civile, associant l’ensemble des ministères.
Pour plus d’infos : https://eg-migrations.org/
Observatoire parisien des violences faites aux femmes
Femmes de la Terre fait partie des associations membres du comité de pilotage de l’observatoire parisien des violences faites aux femmes (OPVF), créé par la Ville de Paris en novembre 2014. Intégré au service Égalité, Intégration, Inclusion de la Ville de Paris, l’OPVF a pour but de coordonner les actions de protection et d’accompagnement des victimes, de sensibiliser la population, de créer des plans de formations pour les professionnel.le.s et d’établir des diagnostics territorialisés.
Il s’agit d’un lieu de concertation qui contribue à bâtir un arsenal de protection pour les femmes victimes de violences.
Réseau violences faites aux femmes 19
Depuis 2018, nous nous sommes membres du réseau Violences Femmes 19. Ce réseau rassemble une quinzaine de structures du 19ème arrondissement recevant et accompagnant des femmes victimes de violences conjugales et/ou familiales, dont la DASES, le commissariat, l’aide sociale à l’enfance, l’association Libre Terre des Femmes, le bailleur RIVP, les PMI, etc.
Ce réseau a pour objectif de mutualiser les pratiques relatives à l’accompagnement des femmes victimes de violences conjugales et/ou familiales et de sensibiliser les professionnel.le.s sur ces questions.
Nos rapports d’activité, présentant également les statistiques réalisées sur nos actions :
Rapport d’activité 2021
Rapport d’activité 2020
Vous pouvez envoyer vos dons par chèque à :
Femmes de la Terre
2, rue de la Solidarité
75 019 Paris
Ou via HelloAsso
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Femmes de la Terre étant une association reconnue d’intérêt général, vos dons vous donnent droit à une réduction d’impôt sur le revenu égale à 66% du montant de votre don, pris dans la limite de 20% de votre revenu net imposable (au-delà, report sur les 5 années suivantes).
A réception de votre paiement, un reçu fiscal vous sera envoyé dans les meilleurs délais. Le reçu vous servira de pièce justificative de votre don au moment de l’établissement de votre déclaration de revenus.
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2 rue de la Solidarité 75 019 Paris
Métro ligne 7 bis (Danube) ou 5 (Ourcq)
Tel/fax : 01 48 06 03 34
Mail : fdlt92@gmail.com
Notre page facebook
Horaires des permanences :
Permanence téléphonique en droits des étrangers·ères : Lundi de 13h-17h au 01 48 06 03 34
Permanence d’écrivain public et d’accès aux droits : Mardi de 13h-17h, sans rendez-vous (dernière arrivée possible : 16h)
Si vous souhaitez participer bénévolement à nos actions, n’hésitez pas à nous envoyer un email à fdlt92@gmail.com pour nous faire part de votre envie et de vos motivations.
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Ce site web est publié par : Femmes de la Terre 2, rue de la Solidarité 75 019 Paris
Association numéro W751107466 déclarée le 8 décembre 1992. SIREN 399 406 628
Association habilitée à recevoir des dons et à délivrer des reçus fiscaux selon les dispositions des articles 200 et 238 bis du Code Général des Impôts par agrément du 9 novembre 2007 de la Direction Générale des Impôts - Direction des Services fiscaux de Paris-Est.
Aucune publication de textes, d’images et de photographies ne peut être reproduite sans autorisation préalable de l’association Femmes de la Terre.
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